Film et discussions
Pour préserver nos territoires et cultiver nos avenirs
Tout commence à 19h par un film, IRRÉDUCTIBLES, en présence du réalisateur, Olivier Dubuquoy.
Oliviers Dubuquoy est un militant écologiste qui s’exprime, notamment, au travers de films documentaires : en 2017, il réalise avec Lætitia Moreau » Zone rouge, la pollution qui ne se voit pas » qui aborde plus d’un demi-siècle de pollutions scandaleuses et autorisées par les boues rouges de l’usine d’alumine de Gardanne.
IRRÉDUCTIBLES, sorti en 2022, c’est « des femmes et des hommes qui s’engagent avec courage pour une certaine idée du territoire, de l’avenir et de la vie. Alors que rien ne les destinait à la lutte, ils et elles sont passés de l’indignation à l’action et ont gagné des batailles écologiques qui semblaient perdues d’avance. Blocage de centrale nucléaire, sabotage pour mettre n à des pollutions en mer, ZAD pour protéger la forêt… Ce film dessine les portraits émouvants d’une résistance citoyenne qui porte ses fruits. »
Le concret et le local arrive juste après ce tour d’horizon proposé par Olivier. À 20h, le collectif ELZÉARD, Lure en Résistance, est là pour nous informer des nombreux déboisements déjà réalisés et ceux projetés sur notre territoire pour la mise en place de centrales photovoltaïques, comme à Cruis, Fontienne, Banon, Redortiers, Les Mées… (voir carte sur le site www.lureenresistance.fr)
Nous pourrons les questionner pour mieux comprendre les enjeux politiques et economique, les impacts écologiques et sociétaux et peut-être réussir à répondre à cette question par exemple : Pourquoi critiquer l’installation de panneaux solaires à l’heure où les énergies renouvelables semblent être une piste écologique?
Olivier Dubuquoy nous parlera également de l’avenir incertain du Château de l’Environnement à Buoux et des actions en cours pour préserver ce lieu commun d’une privatisation…
Pour celles et ceux qui le souhaitent, nous pourrons aussi réfléchir comment nous unir, comment agir pour être constructif collectivement, ne pas uniquement être dans la critique et être « contre tout » comme il est souvent reproché aux militants (même si avoir un esprit critique est déjà une grande qualité, ne l’oublions pas).
Vous pourrez aussi venir dès 18h pour partager « Soupe & Tartines » à prix libre.
Jusqu’à 133 minutes de films rien que pour vous ! Mais vous pouvez partir avant si la nuit vous appelle. Au programme :
« Merry Christmas », histoire d’un homard à Noël… « Stella Maris », des traditions comme on en imagine plus… »Génération open your mind », mettre un barrette à un garçon ou pas? « Samsung galaxy » ou comment Samsung régit une vie, « Bachar à la Zad », de Grigny à Notre-Dame-des-Landes il n’y a qu’un pas, « Stillness », Beyrouth en deuil, « Confinés dehors », le titre parle de lui-même, « Mat et les gravitantes », préparez-vous à un portrait autour d’un auto-examen gynécologique . Et peut-être plus encore si vous en redemandez !
Accueil dès 19h pour un repas partagé si vous voulez.
Grâce à la Fête du court organisée nationalement du 16 au 22 mars, nous vous proposons des ateliers de visionnage de courts métrages pédagogiques, drôles, percutants, troublants ou faisant rêver, films d’animation, fictions (réalistes) et documentaires, pour tous les âges. Chaque diffusion sera propice à échanges et partages.
1h15 de films de 2 à 25 minutes, à destination des pré-ados et ados, pour questionner le monde qui nous entoure et qui nous compose, de manière percutante et/ou drôle. De quoi échanger, se révolter ou rigoler autour d’une bonne limonade, d’un jus de fruits et d’un cornet de pop-corn suite à la projection. Au programme : Bachar à la zad, Samsung Galaxy, Confinés dehors, The wait, Les crevettes grises, Product : les circuits imprimés, Je suis une biche.
Pendant la projection, on se dit que c’est cool si les parents accompagnateurs restent au fond de la salle ou sur la terrasse pour leur offrir un espace entre jeunes. Allez hop, remplissez votre voiture de jeunesse et grimpez sur la colline !
Accueil dès 19 h pour un repas partagé si vous voulez.
Grâce à la Fête du court organisée nationalement du 16 au 22 mars, nous vous proposons des ateliers de visionnage de courts métrages pédagogiques, drôles, percutants, troublants ou faisant rêver, films d’animation, fictions (réalistes) et documentaires, pour tous les âges. Chaque diffusion sera propice à échanges et partages.
Deux courts de 15 minutes, « Dix ans » et « Jeux de guerre » dans lesquels « les personnages de ces films expérimentent la solidité des liens qui les relient avec leur entourage mais aussi la naissance de sentiments et de relations nouvelles. » Chacun des films sera suivi d’un échange permettant aux enfants d’exprimer leur compréhension du film et leurs éventuels questionnements qui pourraient en être issus. N’hésitez pas à venir pique-niquer sur la terrasse ou à partager votre goûter.
Grâce à la Fête du court organisée nationalement du 16 au 22 mars, nous vous proposons des ateliers de visionnage de courts métrages pédagogiques, drôles, percutants, troublants ou faisant rêver, films d’animation, fictions (réalistes) et documentaires, pour tous les âges. Chaque diffusion sera propice à échanges et partages.
30 minutes Hautes en couleurs avec des courts métrages drôles, beaux, questionnant les normes et comment avoir confiance en soi malgré ou grâce à ses différences. » Les six films du programme nous offrent une grande variété de mise en couleurs pour se réjouir, réfléchir et grandir. »
Grâce à la Fête du court organisée nationalement du 16 au 22 mars, nous vous proposons des ateliers de visionnage de courts métrages pédagogiques, drôles, percutants, troublants ou faisant rêver, films d’animation, fictions (réalistes) et documentaires, pour tous les âges. Chaque diffusion sera propice à échanges et partages.
Dès la fin des années 70, dans plusieurs villes de France, des hommes réagissent aux questions soulevées par le féminisme sur le rôle respectif des sexes dans la société, dans la famille et dans le couple. Plutôt jeunes, entre vingt et trente cinq ans pour la plupart, ces hommes issus de tous les milieux sociaux reprennent à leur compte dans leur vie quotidienne les remises en cause profondes des comportements traditionnels, notamment dans les rapports de sexes. Nombre d’entre eux vivent en couple et se posent la question de pouvoir assumer leur contraception.
Constitués en groupes de paroles, ils en viennent à explorer concrètement les pistes d’une contraception masculine possible. La plupart des groupes s’orientent vers une contraception hormonale. Ils mettent au point, dans un contexte de suivi scientifique et médical rigoureux, une série de méthodes qui s’avèrent opérationnelles. Ces hommes utiliseront pendant plusieurs années ces méthodes qui préfigurent celles mises en place actuellement.
À Toulouse plus particulièrement, le groupe qui se forme orientera son travail collectif dans une direction inédite. Après quelques essais, ils s’intéressent à un domaine peu exploré, la contraception par la chaleur. Plusieurs d’entre eux vont au fil des ans utiliser, avec succès, la méthode qu’ils ont conçue.
Au-delà de la question de la contraception, les hommes de ces groupes, tous ceux qui ont participé à ce grand mouvement national, ont connu une expérience unique de liberté de paroles par rapport à eux-mêmes, brisant le silence spécifique de leur genre sur la sexualité, contribuant ainsi à changer fondamentalement leur rapport aux femmes et aux autres hommes.
Mais la fin des années 80 est marquée par le non-renouvellement des forces militantes. Les groupes issus d’ARDECOM n’échappent pas à cette page qui se tourne.
Le silence est désormais retombé sur ces remises en question, dans une période d’appauvrissement et de nivellement idéologique sans précédent.
Le film, au delà du témoignage de ces hommes qui ont participé à une aventure méconnue et hors du commun, fait le point sur l’état actuel d’une contraception masculine qui existe, en fait, et qui est maintenue artificiellement à l’état expérimental, des différentes pistes dans ce domaine dégagées à l’époque aux pratiques actuelles qui fonctionnent, avec des andrologues qui ont suivi l’évolution de ces pratiques depuis trente ans.
C’est dimanche, dernier jour des vacances ensoleillées de février. On n’a pas envie de reprendre le train train quotidien alors on fait l’école buissonnière!
L’idée est simple, dès 18h, un petit apéro et une bonne souplette à partager que chacun.e aura concocté, une nouvelle recette à faire goûter, un peu comme un concours mais sans jury et sans rien à gagner à part le plaisir de déguster, et ce petit repas léger sera succédé à 19h30 d’un bon moment filmographique avec “El assembleao” de Lazare Gousseau, Aline Huber et Jacques Bruckmann.
Comédie documentaire, 2018, durée 1h12.
Enthousiasmé par la lecture d’un article sur la lutte des paysans sans terre du village andalou de Marinaleda, Jacques, réalisateur inexpérimenté, part faire un film à Marinaleda avec deux camarades : Aline au son et Lazare plus ou moins à l’image.
Bon allez on est à peu près sûrs qu’il pleuvra! Faut qu’on s’y fasse, c’est pas grave, les irlandais, les belges et les vosgiens sont toujours là et n’ont pas développé plus de pneumonies que nous, donc c’est juste une question d’acclimatation!
Mais promis, s’il fait beau, on change de programme, c’est huître vin blanc et pétanque à 12h30
Sinon là l’idée est simple, dès 18h, un petit apéro et une bonne souplette à partager que chacun.e aura concocté, une nouvelle recette à faire goûter, un peu comme un concours mais sans jury et sans rien à gagner à part le plaisir de déguster, et ce petit repas léger sera succédé à 19h30d’un bon moment filmographique avec « La Terre de la Folie » de Luc Moulet.
Vous ne connaissez pas? On vous laisse allez fouiner sur la toile… Mais en quelques mots,« L’arrière-petit-neveu du bisaïeul de ma trisaïeule a tué à coups de pioche le maire du village, sa femme et le garde- champêtre, coupable d’avoir déplacé sa chèvre de dix mètres. » Originaire des Alpes de Haute-Provence, avec son sérieux imperturbable et son humour décalé, étudie les causes et les conséquences de ces phénomènes psychiques locaux…
Une petite perle locale à découvrir et à rire!
Le film: Basil, un jeune écrivain britannique, retourne en Crète pour prendre possession de l’héritage paternel. Il rencontre Zorba, un Grec exubérant qui insiste pour lui servir de guide. Les deux hommes sont différents en tous points : Zorba aime boire, rire, chanter et danser, il vit à sa guise alors que Basil en est empêché par son éducation. Ils deviennent cependant amis et s’associent pour exploiter une mine. Zorba entreprend de construire un téléphérique, Basil lui fait confiance, mais c’est un échec. Zorba choisit de s’en moquer. Il rit et court sur la plage. Vaincu et conquis, Basil lui demande alors de lui apprendre à danser le sirtaki.
Jacques Huska, ami de Montjustin et bénévole de l’Ecole Buissonnière, sort de son coffre à trésors des vidéos souvenirs du village…
Nous y découvrirons ou reverrons:
De vieilles images du village, des extraits d’un reportage de France3 (sur Serge Furio et Pierre Magnan), un film 8mn sur un grand méchoui 70’s, des photos de familles d’après-guerre, un film sur les carnavals de 2007 et 2008, des extraits d’une journée de spectacles avec de la danse etc…
Rejoignez nous pour savourer ces petites merveilles autour d’un buffet.