Le méchoui Pascal est complet, alors pour nous faire pardonner et pour vous régaler, Blandine vient s’emparer de la cuisine buissonnière pour un repas exceptionnel….
Surprise!!!!
NOUS REGRETTONS DE DEVOIR ANNULER LA SOIRÉE PRÉVUE
Théâtre tout public à partir de 6 ans
C’est Lundi de Pâques!!
Grand méchoui sur la terrasse.
Venez en famille, avec vos amis, vos voisins…
Ouverte à toutes les personnes qui s’investissent déjà ou veulent s’investir à l’Ecole Buissonnière, cette formation vous donnera les bases pour vous sentir à l’aise et le plus autonome possible dans le lieu. Stock, cuisine, accueil, comment parler du projet, a quel prix est l’adhésion, où se trouve le balais…autant de choses indispensables pour que l’École n’ait plus de secret pour vous et que nous puissions la partager ensemble!
Suivi d’une grosse surprise à partir de 19h…Vous auriez bien tort de rater ça….
« Y a le printemps qui se réveille, t’as le bonjour du Printemps ! ».
Comme chaque année, nous organisons un chantier nettoyage de printemps. Bienvenu donc à tous ceux qui aime partager un moment convivial et utile pour l’association.
Au programme : nettoyage de la petite terrasse et réaménagement du compost, réflexion sur un futur chantier pierres sèches, coup d’oeil sur le verger et sur l’église…bref, y a plein de choses à faire et plus on est nombreux, moins on se fatigue, comme dirait Mathias !
« Femme libre et jouissant de la vie. Maniaco-dépressive et pourtant tellement joyeuse. Ce spectacle nous raconte les nombreuses années que Georgette passa à l’Hôpital Psychiatrique, ses drames, ses grands moments, et ses amours.
Georgette était ma mère et la grand-mère de mon fils. Nous avons co-écrit notre amour infini pour cette femme qui nous a quitté.
A rire, A pleurer.
Notre ultime hommage à Georgette. » Sabra Ben Arfa
La psychiatrie, la filiation, l’amour. Que faire de nos poètes ? Que faire de nos fous ? Le débat est ouvert …
« Le rebetiko » ou « blues grec » est né après 1922 lorsque deux millions de grecs d’Anatolie ont fui la Turquie à cause de la guerre et sont venus s’entasser dans des conditions misérables dans les banlieues des grandes villes grecques…Ils ont ramené avec eux leurs traditions musicales très marquées par l’Orient, tant dans le rythmes que dans les mélodies, et les ont utilisées pour exprimer la dureté de leurs vie, la misère, la marginalité, la drogue et la violence, mais aussi l’espoir toujours présent d’une vie meilleure et la solidarité entre les démunis.
Textes et musiques rébétiques sont à la fois forts et sensuels, toujours chargés d’une
énergie désespérée.
Rien à voir avec les fadaises servies aux touristes dans les cantines d’Athènes…Il s’agit d’une musique authentique, où un peuple exprime le plus profond de son âme.
Maria Kanavaki (chant,accordéon et guitqre) et Christos Pavlis (chant,bouzouki,guitare et baglamas) chantent les chansons emblématiques de ce répertoire avec les traductions de Michel Volkovitch, écrivain, traducteur et éditeur spécialisé dans la littérature grecque. »
Ce chef aux 35 étoiles non reconnues dans les sphères autorisées vous concoctera, avec amour et sans pitié, un menu aux couleurs locales et intersidérales….évidemment…
Philomène la raconteuse vous murmure aux oreilles des textes épouvantables à vous retourner les poils pendant que vous sirotez votre apéro de jouvence…!
Et ce n’est qu’une entrée en matière…que les convives se restaurent et rient pendant qu’il est encore temps, ce qui va suivre les emmènera entre morts et vivants, les uns enviant la place des autres et inversement!
Cette conteuse intrépide aux souliers ailés et au plumeau* précis est partie glaner des histoires dans les catacombes et les forêts profondes pour les servir encore fumantes au public de l’école buissonnière.
Histoires … Raconte !
Histoires … Raconte !
Histoires … Raconte !
*le plumeau est un outil indispensable pour la capture d’histoires.