Lina, chanteuse de la formation Lina and…, s’offre ici un « détour de chant « … entre standards jazz, et coups de cœurs revisités, Lina Modika vous cueille dès les premières sonorités.
« L’écoute, et la passion audible de ce duo, sont un pur ravissement … »
Ce projet est réuni autour de Marie O Dwyer dont la voix nous vient de la ville la plus isolée au monde! Perth – Australie, où elle a enregistré son premier album « Southern flight » en 2014.
Cette musicienne charismatique et singulière compose une musique humaine, inspiré par le monde qui l’entour. Accompagnée par le groupe the Copper Leaves pour donner une soul teintée de blues et de groove qui nous invite au voyage.
MOzic, comme ça se prononce et comme son nom l’indique, c’est des mots et de la musique.
C’est une voix pour les mots ; un accordéon, une contrebasse, une guitare et une batterie, pour la musique.
Des mots et de la musique, sous plusieurs formes, pas toujours celle de chansons.
Des formes qui s’assemblent, s’enlacent et s’associent, pour apprivoiser et partager l’histoire d’un naufrage.
« Les naufragés du A » est en gestation depuis 3 ans, entre Limans, Saint Michel l’Observatoire et Saint Étienne les Orgues.
Coming août le 27, à Montjustin.
« Deux figures bien connues du monde de la musique du 04.Le duo revient avec un nouveau récital.
Accordéon, guitare, percussions, voix.
Compositions ou reprises, c’est de la belle chanson, de la poésie, de la joie, de l’émotion, de la révolte…
Venez nous rejoindre pour découvrir nos nouvelles chansons, pour chanter avec nous, pour retrouver des amis… »
« Beaucoup de torche-plumes parisiens se sont cassés les dents à définir un genre pas assez cérébral et pourtant bien trop complexe pour eux. Une chose est sûre ce n’est pas de la musique pour musicien. C’est un son abrasif fait par des vivants pour les vivants. C’est grave, joyeux, cynique, désabusé, de parti pris, poétique et politique, parfois cru.
Un concert en Zapatrie c’est une communion autant qu’un exutoire, presque shamanique, on y transpire, on y gueule, puis on s’élève. Les scènes de vie défilent et s’entrechoquent dans un mouvement contradictoire qui ressemble fort à ce drame magnifique qu’est la vie.
Du panache et de l’incandescence que restera-t-il ? Probablement rien. Ce n’est que de la musique après tout. »
Bousculeur de mots, basculeur de sens, néologismologue chevronné, Bone tisse ses chansons comme des contes et règle son compte aux chansons.
Nourrit à Lapointe, Desproges ou… euh… mais pourquoi te parles-je de moi à la troisième personne, au fait, hein ?
Viens danser le tango avec le vampire du chocolat, dîner avec le monstre de pierre et réveiller le désir des ronces sous l’œil de Bone, le prince du bayou.
Entre donc, qu’on se fasse plaisir autour d’une bonne tasse de textes.
Pris d’un besoin irrépressible de sortir de sous son crâne osseux les milliers de mots tordus qui s’y agitent et de les jeter en pâtures à sa basse acoustique rondement loopée, Yann Engelbrecht a créé « Bone » : un grand échalas dégingandé à l’humour étrange et aux textes léchés.
« Il y a des gars, des chouettes, des comme dans la vraie vie
Il y a des mots, très beaux, des comme dans les poèmes
Il y a des musiques, étonnantes, des comme dans les chansons
Il y a des nouveaux morceaux, frais, comme des matins
Il y a de l’énergie, intense, et comme vibratoire
Il y a vous
Il y a eux
Il y a ce bel endroit où le temps s’arrête pour prendre son temps, l’Ecole Buissonnière à Montjustin, ce beau village.
On peut y manger, y boire, y être, y écouter de la musique et des mots, c’est comme on veut.
Tout ça c’est là-bas, le 17 septembre à 19h00
Bienvenue »
La musique, l’art premier, la meilleur façon de se parler, les sons jouent en libertés, Canta maria et les wisky kings mélangent le manouche et le portugais.!!!