Avec son univers atypique, Sebka décoiffe la chanson française en douceur. Parolier autant que mélodiste, il vous emmène en voyage dans sa personnalité complexe. Il pose en fil conducteur de ses concerts cette interrogation partagée par chacun d’entre nous : « qui suis-je ? ».
On pense à Brassens quand il s’accompagne à la guitare, mais on pense aussi à Bashung, à Gainsbourg ou à Brel quand il est chanteur sans guitare, accompagné par les arrangements pianistiques de Jean-Pierre Armanet.
C’est l’heure ! Celle de l’apéro, de l’after ou juste celle où on a besoin de recharger les batteries, épancher son coeur et envoyer son esprit ailleurs.
Nous sommes à bord d’une vieille 504, traçant la route comme pour remonter le temps et rejoindre une partie de soi, de l’autre coté de la rive, de l’autre coté du temps.
Les vieux disques défilent au rythme de la mer… De Cheikha Zalamite et Cheikha Djenia au vieux Rai électrique de Cheikh Zargui, c’est bon de revivre cette époque et c’est bon de vivre la sienne aussi. Alors on sort les machines et à coup de beats organiques et de synthé lancinant on hurle à la mort, à la vie, à l’amour.
C’est l’heure ! Celle de faire le plein… Celle d’écouter Benzine.
Un duo de violoncelle et percussions qui vous fait voyager librement entre musiques du monde, néo classique et jazz avec pour bagage un répertoire original de compositions et de reprises.Union entre singularité musicale et universalité des sentiments humains au delà des époques et des lieux.
Entre musique et cinéma, entre poésie et chanson, entre le corps et l’âme, entre ici et ailleurs, JePh nous emmène en voyage dans son for intérieur, bercés de ses fortes convictions et de ses rêves puissants. Une aventure chimérique ancrée dans une réalité sociale.
C’est l’heure ! Celle de l’apéro, de l’after ou juste celle où on a besoin de recharger les batteries, épancher son coeur et envoyer son esprit ailleurs.
Nous sommes à bord d’une vieille 504, traçant la route comme pour remonter le temps et rejoindre une partie de soi, de l’autre coté de la rive, de l’autre coté du temps.
Les vieux disques défilent au rythme de la mer… De Cheikha Zalamite et Cheikha Djenia au vieux Rai électrique de Cheikh Zargui, c’est bon de revivre cette époque et c’est bon de vivre la sienne aussi. Alors on sort les machines et à coup de beats organiques et de synthé lancinant on hurle à la mort, à la vie, à l’amour.
C’est l’heure ! Celle de faire le plein… Celle d’écouter Benzine.
Diga m’en Diga. C’est un quatuor vocal, tout nouvellement conçu.
Quatre voix de femmes, Gaëlle Lévèque, Emmanuelle Aymes, Laïla Sage et Audrey Peinado. Elles entonnent des chants du répertoire occitan, en polyphonie. Quatre voix de femmes qu’elles ont plaisir à mêler…pour vous.
Le trio Curmaia reprend les chants qui scandaient luttes et saisons et emplissaient autrefois les campagnes : répertoire des mondines, discanti des faucheurs, complaintes des migrants, rituels sacrés et profanes.
Trois voix qui se heurtent et se tressent autour du plaisir ancestral et vivant de la polyphonie.
Djenavi, quatre musicien-ne-s peuplé-es d’histoires aux couleurs métissées retracent leur chemin en réveillant les corps endormis par des rythmes entraînants.
Un beau voyage alternant chants, mélodies à plusieurs voix, improvisations et percussions afro cubaines !
Quatre univers contrastés s’unissent afin de créer leur propre identité.