Après 15 jours de résidence, Des clochettes dans les pieds qui nous font danser dans nos contrées, propose un espace adapté pour danser en famille. Mais si vos enfants ou petits-enfants sont partis en vacances, ou si vous n’en n’avez pas, vous êtes les bienvenu.e.s tout de même, vous pourrez en adopter un ou une… le temps d’une danse !
Salut les Minots, ici des Clochettes dans les pieds ! On t’invite à venir danser avec nous sur une piste joyeuse et festive, au son de nos accordéons et de nos éclats de rire! Pas à pas et main dans la main, on t’embarque dans l’univers de la danse d’hier et d’aujourd’hui. Tu seras la reine ou le roi de la soirée, notre invité d’honneur ! Copains, copines, parents, grands-parents, voisins, voisines, BIENVENUE !
Accès et participation libres pour le bal à 19h15 Grignotage spécial enfants (genre des frites, salade de fraiche et glace par exemple! en cours de réflexion !) à 20h15, le Grand bal !
Conjunto Vayo Nacho est un groupe basé à Berlin, interprétant « Vallenato Music ».
Accompagné d’une irrésistible Drum Machine des années 70, le son polyrythmique est compatible pour tous les fans latins, électroniques et Outsider, à la recherche de nouvelles interprétations de Folklores exotiques.
A côté de sa cousine de renommée internationale, la Cumbia, Vallenato porte des racines « indigènes précoloniaux », d’’Afrique et d’Europe. Au XXe siècle, il
est devenu le journal local du nord-est de la Colombie, crachant des commérages sur le village d’à côté, ainsi que d’y lancer des chansons d’amour. Les lignes d’accordéon virtuoses répondent ou doublent un chanteur jappant. Lignes de basse, toujours changeantes, autour et en dehors du battement, tandis que Guacharaca et d’autres percussions à main contrôlent le rythme.
Le mélange est barré, rythmé, endiablé par des envolées accordéonesques ! On va danser !
Morenica est un monstre magique à 4 têtes qui reconstruit des musiques traditionnelles de Méditerranée et d’Occitanie.
Morenica chante en polyphonies et mélange les influences culturelles et les textures psychédéliques.
Morenica joue une musique contemplative, hypnotique, festive.
Assiette charcuterie et/ou fromage et/ou Salade composée
Pique-nique acceptés
Accès et participation libres pour le concert
spectacle Collectage de paroles paysannes dans le sud-Luberon au fil des 4 saisons.
Une idée d’Agnès Dauban assistée de Marco Rullier.
Durée 1h
avec le soutien de L’association Au Maquis! et le Grand Ménage de printemps
Photographies: Samuel Domingo
Après 12 ans passés dans la Drôme, je suis revenue vivre dans le Luberon.
J’habite dans ma caravane, me faisant accueillir de ferme en ferme chez les « paysan.ne.s » du coin : un paysan-boulanger, une pépiniériste, un maraîcher… des hommes et des femmes qui cultivent la terre et cultivent bien au-delà de la terre, les liens entre les habitant.e.s du territoire. Ils et elles chantent, dansent, rêvent et mangent ensemble et trouvent encore l’énergie de se soulever, de manifester et de s’organiser pour faire entendre la voix de la terre.
Ces paysan.ne.s m’apportent jour après jour un ancrage. Auprès d’eux je soigne mes racines, mes ramures et mes rêves. J’y retrouve la santé et la joie. Je suis émue aux larmes face à la puissance qu’ils et elles ont à vivre.
Je constate par ailleurs qu’aujourd’hui, le monde de l’agriculture est en grande souffrance. Ma curiosité me pousse à en questionner les causes. Dans ce réseau dit de « petits paysans », cultivant/fabricant en agriculture biologique – dont certain.e.s furent pionnier.e.s, d’autres sont des jeunes qui s’installent – Je vois beaucoup de solidarité.
Je vois en eux, en elles, les héritier.e.s des « Lettres aux paysans, sur la pauvreté et la paix » (1938) de Jean Giono, par les paysages et la notion d’auto-suffisance, notamment. L’une des différences est qu’ils et elles assurent leur autonomie alimentaire à plusieurs.
J’ai trouvé une place parmi eux, parmi elles, j’ai pris la place qu’ils, elles m’ont faite, à moi, la conteuse, comme si mon rôle était aussi utile que le leur. Alors ces mots de Jean-Claude Carrière ont résonné en moi:
“La seule ambition du conteur est d’apparaitre nécessaire. Comme un paysan ou un boulanger. Ni plus, ni moins. Car les histoires qu’il raconte dévoilent certains aspects de l’esprit qui ne sont pas autrement perceptibles.”
Leur travail et leurs soins vont à la terre et aux mangeurs. Mon travail et mes soins, avec mes complices, sera donc de leur rendre hommage et plus largement rendre hommage à tout ce qu’il y a de bon à manger sur cette terre et encore plus largement rendre hommage à la vie et à la terre.
Raconter ceux et celles qui prennent soins de la vie depuis la terre jusqu’à nos bouches.
Le live de Lola qui doute est un voyage dans le sensible, pour ceux qui veulent faire leur plein d’émotions comme on fait le plein de sa voiture pour repartir sur la route. Il se veut être une traversée poétique dans la vie d’une humaine, à travers des textes écrits en français et chantés délicatement sur le fil d’une guitare. Sur le chemin, on se suspendra au passage dans des réflexions sur la vie et sur ce qui anime l’intérieur avec des histoires contées comme des secrets, des cadeaux d’intimité à ceux qui écoutent. On va en rire. On va en pleurer. Puis reprendre nos routes, plus pleins et bizarrement plus légers.
Assiette charcuterie et/ou fromage et/ou Salade « courgettes à la grecque »
Pique-nique acceptés
Mêlant compositions et reprises revisitées allant de Brassens à Brel en passant par La souris Déglingué ou encore Les têtes raides, dans une ambiance intimiste, Akèstéko Akoustik balade son swing « destourbâ » entre swing, chanson française et quelques touches de jazz et de blues.
Assiette charcuterie et/ou fromage et/ou Salade composée
Pique-nique acceptés
Accès et participation libres pour le concert
Avec ses légumes de saison, ces côtelettes d’agneau de nos collines, grillées à point et légèrement rosées, auront un gout de vacances et vous donneront même envie de boire un petit verre de rosé avec des glaçons ! Comme si vous étiez en Provence !
L’été ayant du mal à s’imposer, nous gardons le cap des bons plats aux tendances hivernales ! Pour vous ravir ce dimanche ci, un rôti de porc (toujours issu de nos producteurs locaux et bio), mijoté en cocotte avec de la sauge, accompagné d’une onctueuse purée de pomme de terre et d’un confit d’oignons.
Une fois n’est pas coutume, nous accueillons cette année la fête de la musique sur la colline pour l’apéritif grâce à la proposition du groupe « Rebet after me », qui, comme son nom l’indique fâcheusement, interprète principalement des chants et musiques issus du rebetiko.
Apparue en Grèce dans les années 1920, cette musique populaire urbaine exprime les conditions de vie des émigrés grecs expulsés d’Asie mineure et des populations rurales qui viennent s’installer dans les ports d’Athènes et de Thessalonique dans l’espoir d’une vie meilleure. Rencontre musicale entre l’Orient et l’Occident, c’est une musique dynamique, riche en rythmes comme en mélodies. Elle raconte l’exil, l’amour magnifié ou déçu, l’ambiance enfumée des tavernes, la prison, le pinard et le
saucisson… Ce n’est pas pour rien que le Rebetiko est souvent surnommé « Blues
Grec ».
Musiciens : Béatrice : Chant, baglama, Zils, cuillers
Balthazar : Guitare
Sylvain : Bouzouki, oud, mandzouki, chant
irrésistible Drum Machine des années 70, le son polyrythmique est compatible pour tous les fans latins, électroniques et Outsider, à la recherche de nouvelles interprétations de Folklores exotiques.
Dans ce réseau dit de « petits paysans », cultivant/fabricant en agriculture biologique – dont certain.e.s furent pionnier.e.s, d’autres sont des jeunes qui s’installent – Je vois beaucoup de solidarité.