Après leur joyeux passage en octobre, nous accueillons à nouveau Eranik Ganantchian (voix)
et Marie-Cécile Gautier (piano) !
Deux femmes, un univers : de Jeanne Moreau à Piazzolla, en passant par Björk ou Nina Simone, c’est un répertoire diversifié qui explose les frontières des styles.
À travers le monde et les époques, des reprises qu’elles tordent de leur sensibilité et qui mettent en lumière, dans un seul souffle, l’essence de toute émotion…
Depuis deux décennies, les Castafiore Bazooka, groupe à géométrie variable mené par Elisabeth Wiener et Luna Mosner, sèment leurs graines de folle sagesse sur le terreau de notre bel univers en expansion ! Des mots, de la musique, des chansons, du cirque, de l’énergie, du rire et des larmes s’adressant à toute les générations, du nourrisson à l’aïeul, à tous les genres et à toutes les couleurs….
Navigant avec talent entre les standards du jazz swing des années folles et les grands hits du rock des années 60 (Beatles et Stones) le groupe se permet aussi de nombreuses incursions en terres latines ou manouches pour le plus grand bonheur des mélomanes en quête d’un peu d’authenticité. Mais, suivant les évolutions de soirées, il se peut aussi que nombre de danseurs amoureux du déhanché se retrouvent à partager de beaux moments de fêtes et de générosité autour du trio, duquel émane un véritable plaisir communicatif. Restants fidèles à leur désir d’éclectisme les Inkonitos ont aussi à leur répertoire des chansons françaises plus intimistes avec Brassens, Renaud, Higelin, et sont toujours heureux de présenter quelques unes de leurs dernières compositions.
» L’orgue de barbarie, c’est une image d’Epinal, un rêve enfoui au plus profond de la mémoire du peuple. Et si on essayait de lui redonner un peu de fraîcheur ? «
Un concert pour toutes les générations,
Un voyage dans le temps entre poésie et romantisme canaille, d’hier à aujourd’hui…
Installé en Bretagne, Sylvain Lioté-Stasse a grandi dans le quartier latin à Paris, du côté de la rue Mouffetard et de la Contrescarpe.
Avec son « orgue barbare » en bandoulière, il redonne souffle et énergie aux chansons des rues, celles interprétées entre autres par Juliette Gréco, Vian, Mouloudji, Piaf, Montand, Jeanne
Moreau, Salvador, Bourvil, Nougaro, Gabin, Renaud … mots et mélodies qui font corps avec la vie.
Au fil du temps, son répertoire s’agrandit et navigue vers la musique irlandaise, le jazz et quelques chansons plus « actuelles »…
Sourires, échanges de regards, pas de danse et voix qui se joignent aux autres sur la route
Moustache au nez, pipe au bec, contrebasse dans la poche et guitare à la main, Les Georges revisitent le répertoire de leur ancêtre vénéré dans un spectacle drôle et théâtral. Tout comme lui, ces quatre-là n’ont pas la langue de bois et un vent de jeunesse souffle sur les chansons de Brassens ! Ils interprètent pour votre plus grand plaisir une vingtaine de morceaux sous forme de scénettes tendres ou cocasses.
Il promène sa plume, sa voix et son accordéon depuis pas mal de lustres sur les routes de France et d’ailleurs. Il a écrit une dizaine de pièces de théâtre, et entre autres il chante depuis vingt ans avec Entre 2 Caisses. En tant qu’auteur de chansons, il ose un pari : il ne nous parle absolument pas de ses problèmes personnels, pourtant nombreux. Il se permet d’explorer des voies peu arpentées, du moins par la chanson, de notre vie, individuelle, sociale, amoureuse, économique. Ses textes posent un œil ironique sur le monde, et nous en montrent toute l’absurdité.
L’humour est toujours là, léger souvent, parfois plus sombre. Engagé? Pas dans l’armée en tout cas. D’ailleurs, voici ce qu’en écrit Michel Kemper, de l’excellent site Nos Enchanteurs : « C’est du Daniel Mermet appliqué à la chanson populaire. C’est excellent ».
Ces chansons racontent l’histoire de l’Anatolie en parlant d’amitié, de lutte, d’amour, de déchirure, d’espoir, et sont les témoins d’une volonté de transmettre plusieurs émotions afin de les partager avec le public.
Si l’Anatolie s’était donnée rendez vous, ce serait lors des répétitions à Marseille, rue de Rome, chez Bayram Kilic, fondateur de l’ensemble Sonatolia. Fort d’un immense répertoire ancré au cœur de sa pratique populaire de la musique, il a rassemblé les origines kurdes, italiennes et françaises à son bagage istambouliote pour produire un son des peuples d’Anatolie typiquement marseillais.
La complicité motivant le travail, le travail créant la complicité Léa et Mathilde revisitent leur répertoire Klezmer sous le prisme de leur sensibilité artistique. Elles vont notamment à la découverte de chants orientaux et d’Europe de l’Est.
« Nous défendons une musique de fusion.De part son histoire et son mode de transmission orale, cette musique est vouée à évoluer. C’est au grès des chemins et des rencontres qu’elle s’enrichit de l’interprétation de tous ceux qui la jouent. Cette musique nous transporte dans les multiples mélanges dont elle est issue, et nous la transportons nous aussi, la faisant voyager, pour lui donner vie, pour lui donner sens. »
Le groupe vous fera découvrir son univers musical, fait de pièces instrumentales et vocales Klezmer, ainsi que d’Europe de l’Est et Orientale, interprétées avec sensibilité et dynamisme. Ces musiques pleurent et rient à la fois, se dansent, et bien sûr, se partagent. Les Oreilles d’Aman font vivre leur musique, c’est un plaisir pour eux, c’est un plaisir pour ceux qui les écoutent !