Oui, c’est ça, c’est Ioanes, celui du trio, du quintet qui, avec sa guitare et ses chansons repasse par là, cette fois-ci en duo avec Alessio, le violoniste.
Chanson métèque, chansons buissonnières. Sans origine contrôlée et à l’issue incertaine. C’est en version intimiste, tout près, quasiment autour de la table à laquelle le poète chantonne avec la babouchka, le squatteur déguste un vin insoupçonnable avec le berger et un brigand en cavale claque le grisbi avec une amazone à dos d’éléphant car pas assez n’est pas de trop.
Des louli louli font mouche. Odomo a le blues et se balkanise en rêvant. Des oiseaux de passage vont « voir la nuit, comment le ciel s’allume ».
« Géronimo ! Chapeau fait de la chanson tragique, avec beaucoup de pétales de fleurs et de poignées de riz jetées en l’air : ils viennent sur la colline juste avant le printemps, avec accordéons, guitares et gorges, pour dire adieu l’hiver. On pourra finir la soirée joyeusement dans des lamentations plus ou moins simulées. Écoutés les piailler sur leurs site internet
Quatre femmes unissent leur voix pour faire vivre et résonner des chants polyphoniques.
Elles donnent corps à des chants traditionnels du monde en maniant avec ferveur des rythmes et des
langues aux sonorités parfois étranges pour vous les offrir en partage.
Chant d’amour, mélodies d’ailleurs et d’ici, cœurs brisés et enchantés, chant de femme et de liberté,
Leïtchika vous emmènent avec elles dans un vibrant et frissonnant voyage autour de l’Europe,
et bien au-delà… «
Venez voyager dans le Fado Portugais, laissez vous entraîner tant par ses chants nostalgiques que festifs, dans ces couleurs de paysages lointains, et grands états d’âmes à fleur de peau.
Ambiance garantie.