On dirait presque le nom d’un jeune groupe de folk irlandaise, ou du Massachusetts. C’est bien mieux que ça. C’est un 2 en 1 qui vaut son pesant de cacahuètes certifiées AOC Luberon.
En first time, de 16h à 17h30, 1h30 de franche rigolade où on va vous parler de cette fameuse association qui depuis des années fait son max pour faire vibrer la colline, vos corps, cœurs et esprits au gré de programmations, ateliers et moments partagés variés. En patois administratif, on appelle ça l’Assemblée Générale et ça permet de mieux comprendre comment est-ce possible qu’en haut d’une si petite colline, dans ce si petit et très joli village de Montjustin puisse passer de si grandes choses dont tout le monde peut profiter, où tout le monde peut participer !
Pour celles et ceux qui auront tout bien suivi et bien compris, à 18h30, pour l’occasion, parce qu’ils avaient envie, parce qu’on les aime beaucoup, qu’ils nous aiment aussi, Gabrielle GONIN et sa contrebasse dans GABY MA SŒUR, et Yann ENGELBRECHT et sa basse dans BONE nous font l’honneur et le plaisir de venir faire sonner leurs cordes ce soir là.
Concert ouvert à toutes et tous, même à celles et ceux qui n’auront pas suivi la grande communion de l’AG… mais bon c’est sympa si vous venez dès 16h quand même ! 😉
Allongez-vous confortablement, les yeux dans le ciel, et embarquez pour un vol de nuit de 45 minutes accompagné par le son méditatif des bols chantants, le chant des oiseaux nocturnes et quelques textes de Jean Giono à propos de la nuit.
Dans un souci de bien-être, n’hésitez pas à apporter un tapis de yoga, une chaise longue, une couette, etc.
Avec Chloé Sanchez (création sonore) et Sarah Pepers (bols chantants)
Piazza Vittorio est le personnage d’un spectacle de rue magique et drôle et interactif dans lequel le public joue avec le magicien. Au fil des tours de magie, des prouesses de jonglage, le tout rythmé par des blagues, Vittorio amusera et émerveillera les petits et les grands.
Audrey Peinado propose de renouer avec une approche empirique du chant, le chant dit « populaire », ce chant du peuple que chacun entonne sans se poser la question « suis-je chanteur ? ».
Au-delà de sa ligne mélodique, chaque chant se situe dans une histoire, un contexte, une raison d’être chanté. Nous partirons de la musicalité du texte, de l’histoire racontée, de la langue pour révéler l’aspect charnu de la musique et des chants. Cela fait appel à un investissement du corps, c’est pourquoi nous prendrons le temps de sentir, d’explorer, de reconnaître les sensations physiques qu’entraîne chaque chant. Au travers d’une chauffe pédagogique nous expérimenterons les bruits du corps puis ceux de la voix.
Le temps de cette rencontre nous permettra de prêter attention à nos respirations, à la diction, l’écoute et le placement de nos voix pour nous familiariser au plaisir du chant polyphonique provençal. Ainsi, la visée individuelle, qu’est l’épanouissement de la voix, rejoindra alors la visée collective qu’est la rencontre de ces voix, timbres, intentions, ceci pour faire résonner les vibrations, des harmoniques… les chants.
Horaires :
Le stage aura lieu samedi après-midi : 14h-18h et dimanche : 10h-12h – repas partagé – 14h-16h
Audrey Peinado propose de renouer avec une approche empirique du chant, le chant dit « populaire », ce chant du peuple que chacun entonne sans se poser la question « suis-je chanteur ? ».
Au-delà de sa ligne mélodique, chaque chant se situe dans une histoire, un contexte, une raison d’être chanté. Nous partirons de la musicalité du texte, de l’histoire racontée, de la langue pour révéler l’aspect charnu de la musique et des chants. Cela fait appel à un investissement du corps, c’est pourquoi nous prendrons le temps de sentir, d’explorer, de reconnaître les sensations physiques qu’entraîne chaque chant. Au travers d’une chauffe pédagogique nous expérimenterons les bruits du corps puis ceux de la voix.
Le temps de cette rencontre nous permettra de prêter attention à nos respirations, à la diction, l’écoute et le placement de nos voix pour nous familiariser au plaisir du chant polyphonique provençal. Ainsi, la visée individuelle, qu’est l’épanouissement de la voix, rejoindra alors la visée collective qu’est la rencontre de ces voix, timbres, intentions, ceci pour faire résonner les vibrations, des harmoniques… les chants.
Horaires :
Le stage aura lieu samedi après-midi : 14h-18h et dimanche : 10h-12h – repas partagé – 14h-16h
Pour résister à un monde où la vitesse et l’efficacité sont devenues la norme, En Cavale décide de prendre la route au pas… Pendant 6 semaines une dizaine d’artistes à vélo suivront Perle, une jument de trait à la fière allure, et sa roulotte/scène sur les routes du Lubéron. La caravane s’arrêtera tous les week end dans un village différent pour proposer une programmation de théâtre, musique, cirque, conte et poésie… Rejoignez nous à pied, à vélo, et si c’est en voiture, chut, on le dira pas à Perle, mais assurez vous de ne pas être seul.e dedans !
Deux Hôtesses des Airs racontent les Faubourgs de Babel, une contrée mystérieuse, où nos infinis possibles ont l’audace d’exister, où les rêves s’inscrivent dans la réalité.
2 femmes Indiana Améziane & Véronique Renard vêtues de leur coeur sauvage chantent une traversée aux multiples langages, un rythme tribal & un accordéon savant dialoguent au service d’un répertoire de compositions entre chanson française & Douce Transe
Montjustin à dos d’éléphant et la mairie de Montjustin accueillent le festival itinérant « Le K’fé Quoi En Goguette ! » dans l’église à ciel ouvert du village. Trois représentations du concert de Lior Shoov, les 10, 11 et 12 août.
Insaisissable, inclassable, Lior Shoov parcourt le Monde. Exploratrice, elle ne se dit pas « en tournée » mais « en voyage ». Et au qualificatif « pluridisciplinaire », elle répond : « liberté ». Exploratrice, elle l’est aussi dans son art et les multiples disciplines – arts de la rue, musiques, clown, chanson – qu’elle embrasse avec une virtuosité déconcertante. Lior Shoov ne fait pas de concerts ni de démonstrations. Elle propose des instants de partage avec le public où, sur le fil, elle cultive son goût du risque et puise dans son intimité pour délivrer une chose artistique unique et insaisissable. Seule en scène, avec sa voix, quelques instruments et dispositifs, elle explore la matière entre chant, discussion et improvisation. Et le temps se suspend…
Montjustin à dos d’éléphant et la mairie de Montjustin accueillent le festival itinérant « Le K’fé Quoi En Goguette ! » dans l’église à ciel ouvert du village. Trois représentations du concert de Lior Shoov, les 10, 11 et 12 août.
Insaisissable, inclassable, Lior Shoov parcourt le Monde. Exploratrice, elle ne se dit pas « en tournée » mais « en voyage ». Et au qualificatif « pluridisciplinaire », elle répond : « liberté ». Exploratrice, elle l’est aussi dans son art et les multiples disciplines – arts de la rue, musiques, clown, chanson – qu’elle embrasse avec une virtuosité déconcertante. Lior Shoov ne fait pas de concerts ni de démonstrations. Elle propose des instants de partage avec le public où, sur le fil, elle cultive son goût du risque et puise dans son intimité pour délivrer une chose artistique unique et insaisissable. Seule en scène, avec sa voix, quelques instruments et dispositifs, elle explore la matière entre chant, discussion et improvisation. Et le temps se suspend…
Montjustin à dos d’éléphant et la mairie de Montjustin accueillent le festival itinérant « Le K’fé Quoi En Goguette ! » dans l’église à ciel ouvert du village. Trois représentations du concert de Lior Shoov, les 10, 11 et 12 août.
Insaisissable, inclassable, Lior Shoov parcourt le Monde. Exploratrice, elle ne se dit pas « en tournée » mais « en voyage ». Et au qualificatif « pluridisciplinaire », elle répond : « liberté ». Exploratrice, elle l’est aussi dans son art et les multiples disciplines – arts de la rue, musiques, clown, chanson – qu’elle embrasse avec une virtuosité déconcertante. Lior Shoov ne fait pas de concerts ni de démonstrations. Elle propose des instants de partage avec le public où, sur le fil, elle cultive son goût du risque et puise dans son intimité pour délivrer une chose artistique unique et insaisissable. Seule en scène, avec sa voix, quelques instruments et dispositifs, elle explore la matière entre chant, discussion et improvisation. Et le temps se suspend…
Pour celles et ceux qui auront tout bien suivi et bien compris, à 18h30, pour l’occasion, parce qu’ils avaient envie, parce qu’on les aime beaucoup, qu’ils nous aiment aussi, Gabrielle GONIN et sa contrebasse dans GABY MA SŒUR, et Yann ENGELBRECHT et sa basse dans BONE nous font l’honneur et le plaisir de venir faire sonner leurs cordes ce soir là.