Nous ne parlons pas ici que de la recette… nous aurions pu mettre un « S » à ancienne mais ça fait une faute d’orthographe ! Car après une belle soirée Brassens, comme à l’ancienne, venez vous restaurer avec ce délicieux plat familial mis en sauce par Marie et Solange, comme à l’ancienne ! Peut-être bien clôturé par un fondant à la châtaigne ou au chocolat, comme autrefois !
Un repas et un binôme traditionnels dont peut-être certaines ou certains d’entre vous ne se lassent pas… avec la complicité de Mathis !
Un menu d’hiver, traditionnel, qui fait toujours son effet dans les papilles, qui fait souvent penser à notre mamie, pour lequel on aime toujours s’attabler. De bons coco plat, enrobés de sauce tomates et le petit gigot d’agneau de Provence… de douces saveurs locales mises en valeur par Martine, suivies d’un dessert maison pour vous ravir !
Un palmipède et des tubercules… Non ce n’est pas le titre d’une épopée naturaliste. Mais bien les origines de ce délicieux plat qui vous sera servi ce jour-là grâce à la mise en magie orchestrée par Martine et le ou la bénévole du jour.
Entre la Chine et l’Allemagne, Martine et Frédérique vous feront voyager ! Pour nourrir les ouvriers de la Grand muraille, la technique de fermentation du chou est née là-bas ! La recette est petit à petit arrivée en Allemagne et a tout d’abord accompagnée les poissons pêchés par les bateleurs du Rhin.
Pas la peine d’essayer de partir en courant, elle vous rattrapera ! Médaillée d’Or au J.O. de 1989, elle s’est reconvertie dans les plaisirs gustatifs et fera votre bonheur avec ce poulet basquaise !
Oui, ça rime, alors ça fait plaisir de l’écrire ! Mais surtout, avec l’agneau et les coings de la colline, cuits aux petits oignons, mettez vos charentaises, mettez-vous à votre aise et savourez !
Pour clôturer les tablées de ce mois, la Belgique nous envahit les papilles avec un repas spécial. Aux fourneaux, un de nos belges préférés, pour des boulettes liégeoises et frites maison !
Roxane, Solange et le bénévole du jour vous proposent de rester dans la tradition avec un gigot du pays de Montauris, accompagné de sa crème d’ail et de son écrasé de pommes de terre fondant. Une petite salade verte pour le transit, et en dessert, the famous fondant à la châtaigne.
Comme c’est dimanche, selon vos habitudes, vous pouvez venir en jogging, en babouche, en costard, en grenouillère ou robe à fleurs, tout est permis ! La seule consigne : être là à 12h30 ! Un gage défini collectivement pour les retardataires !
Aussi, pour rendre accessible au maximum de personnes ce repas de réouverture, nous vous proposons une fourchette de prix entre 12 et 20 € (ou plus si vous voulez et pouvez !).
Si quelqu’un.e a envie de proposer un petit interlude musical ou poétique au cours de ce moment gourmand, n’hésitez pas à nous faire votre proposition.